Balzaminov est un petit fonctionnaire de la Russie tsariste, pauvre gentil, et un peu niais.
Comme il ne sait ni faire la cour aux femmes ni gagner beaucoup d’argent, il rêve d’épouser une femme riche. Peu importe son physique puisque toutes les femmes riches sont belles.
Sa mère décide de prendre les choses en main, et de confier l’avenir de son fils à une marieuse.
Une île, enjeu de convoitise.
Des indigènes dammant le pions aux européens.
Une lady amoureuse d’un perroquet.
Un comédie déjantée plus que jamais d’actualité….
La demoiselle de petite vertu, le soldat, la soubrette, le fils de famille,
la femme du monde et son mari, ce mari et la grisette
le second quittant la première pour la troisième qui sourit au quatrième
et ainsi de suite jusquau comte qui passe de la comédienne
à la demoiselle de petite vertu, bouclant ainsi la ronde.
Quest-ce qui les entraîne tous ?
Cette comédie à la fois miroir et divertissement, rappelle Molière et Tchékhov par sa manière de représenter cruellement (mais non sans tendresse) les défauts humains sous un jour risible…